L’Afrique du Sud, en forme longue la république d’Afrique du Sud, est un pays situé à l’extrémité australe du continent africain. Sa capitale administrative est Pretoria. Il est frontalier à l’ouest-nord-ouest avec la Namibie, au nord et au nord-nord-est avec le Botswana, au nord-est avec le Zimbabwe, et à l’est-nord-est avec le Mozambique et l’Eswatini. Le Lesotho est pour sa part un État enclavé dans le territoire sud-africain.
Les Ntwane, dont le nom signifie « guerrier », sont d'origine tswana ou sotho de l'ouest. Ils ont des liens étroits avec les Ndebele et les groupes sotho du nord (Pedi).
Plus important, ces figures se rattachent très spécifiquement à un groupe de cannes de prestige dont l'une, conservée par le Museum für Volkerkunde de Berlin, est connue pour avoir été collectée dans l'aire ntwana, plus précisément dans la région de Spelonken, dans le Transvaal, et offerte au musée en 1895 par un certain M. Militz.
Pendant longtemps les masques blancs de la région sud du Gabon ont été attribués à tort aux Mpongwe de l'embouchure de l'Ogooué et aux Lumbo de la côte, qui se sont contentés en fait de les vendre aux Européens.
Neuf touches en bois dur et neuf résonateurs en calebasse, avec anse d'appui. «Une lanière permet au musicien de le suspendre [l'instrument] autour de son cou, alors que l'anse d'appui recourbée le maintient en position de jeu.
La traduction très variée du corps humain est perceptible en Afrique du Sud à travers la production de poupées. Il ne s'agit pas de jouets mais d'objets chargés d'une mission.
Dans les régions orientales de l'Afrique du Sud, les cannes ont toujours fait partie des attributs du chef, destinés à marquer son rang et son autorité.
Chez les Ndebele, le corps de femme idéal (gestalt) semble avoir été de forme conique : les femmes portant leur irari ou couverture de cérémonies en perles prennent cette forme.
La tradition des peintures murales du peuple ndébélé d'Afrique du Sud est née au milieu du XIXe siècle, avec l'abandon des huttes de paille au profit d'habitations en terre.
La tradition des peintures murales du peuple ndébélé d'Afrique du Sud est née au milieu du XIXe siècle, avec l'abandon des huttes de paille au profit d'habitations en terre.
Seuls les murs extérieurs sont richement décorés. Selon James Walton, les motifs géométriques, multicolores utilisés dériveraient de ceux employés dans les travaux de perlage.
Oeuvre née d'accidents naturels ayant modifiés la structure d'un plat à nourriture du Nord de l'Afrique du Sud, lui conférant une forme quasi "strigidienne". Trouvé sur le terrain par Bert Garrebeek.
Dans la première moitié du XIXe siècle, un État puissant se forma en Afrique australe par l'amalgame spontané ou forcé de petits groupes dépourvus d'unité politique.
Le terme "zulu" vient du nom d'un petit groupe humain originaire du Natal qui, au début du XIXe siècle, a fédéré plusieurs autres Groupes de l'Afrique australe sous l'autorité d'un chef, Chaka, surnommé par les Occidentaux "le Napoléon africain".
De par sa forme, il s'agirait d'un uphiso ou d'un pot à bière, en d'autres termes d'un récipient pour transporter de l'eau ou de la bière, mais en réalité, il est beaucoup trop petit pour remplir cette fonction.
Cet exemple raffiné l'uphiso sert à transporter de l'eau ou de la bière. Sa forme légèrement aplatie et le motif incisé en zigzag suggèrent une origine hlabisa.