Masque femelle de danse de pwo. Les 600.000 Tshokwe constituent le plus grand groupe ethnique en Angola orientale.

Fort beau masque de danse Pwo, symbole idéalisé de la Femme, source de vie.

Masque de danse Pwo, le visage expressif et fort bien représenté, avec reproduction de la mutilation dentaire et de tatouages traditionnels, surmonté d'une coiffure en bandeau sculpté, les bouclettes stylisées sous l'aspect d'un quadrillage, coupé de sillons verticaux.

Symbole de la femme accomplie. Mukishi wa pwo, masque à visage féminin des Thucookwe (Zaïre, Angola). Il exalte la beauté de la femme et l'épanouissement de sa féminité. Il est la demeure de « la mère mythique », Femme-Esprit dispensatrice de la beauté et de la fécondité. Sur le front, le signe du kalunga, symbole du Dieu Créateur Incréé et de l'univers achevé, où chaque créature est à sa place. Il signifie aussi l'infini et la plénitude. Il figure ici « la mère mythique » dont ce masque est le pantacle.

Masque à visage féminin des Thucookwe (Zaïre, Angola). Il est la demeure de « la mère mythique », Femme-Esprit dispensatrice de la beauté et de la fécondité.

Ce masque impose l'autorité de l'homme qui dirige les rites de circoncision

Visage humain entouré d'une large coiffe en tissu tendu sur une armature de jonc.

This male mask symbolizes power and wealth and is sometimes used as a judgment mask. It was originally danced only by the chief or one of his sons.

Male wooden mask that symbolizes power and wealth. This powerful object, with feathers that allude to the upper world, is sometimes used as a judgment mask.

Les masques tshokwe, réalisés par des sculpteurs professionnels sont en bois, en résine ou combinent ces deux matières.

Des sculpteurs professionnels confectionnent les masques à partir de bois, de résine ou d'une combinaison des deux matériaux.

Ils sont plus de 1.000.000 et sont installés dans le Sierra de Muzamba. Ce peuple n'a jamais édifié un état centralisé, mais de grandes chefferies se formèrent sur le territoire.

Les Tshokwé qui vivaient au sud-ouest de la République démocratique du Congo et en Angola ont utilisé pour leurs cérémonies de nombreux masques qui avaient chacun un sens et un rôle différents.

Le style de l'expansion au Kwango-Kwilu est expressionniste; les traits sont épurés.

Ce masque très abstrait, typique du style du Kasaï congolais, présente la particularité d'avoir la mâchoire inférieure taillée dans le prolongement vertical du visage.

Il est représentatif des masques chokwe angolais du début du XXe siècle.

Ce masque unique est presque un heaume, tant il est profond. La représentation sculptée d'une ancienne forme de coiffure sur la partie supérieure est typiquement angolaise.

Dans les régions frontalières entre l'Angola et l'actuel République démocratique du Congo, les Chokwe et les Lwena entretiennent de multiples relations historiques.

Une « dent » en métal sort de la bouche; des poils de moustache sont encore visibles; le nez est droit et pointu : autant de traits caricaturaux de l'Européen, auquel ce masque est censé ressembler.

Les masques katoyo, encore présents de nos jours, représentent l'aspect visible d'esprits perturbateurs auxquels on donne souvent le visage caricatural d'un Européen

Ce masque présente un style désormais très rare, qui tend à la stylisation du visage.

Les masques pwo à coiffure trilobée sont caractéristiques des Chokwe « modernes », c'est-à-dire des Chokwe de l'«après-migration» au Kasaï (RDC).

Ce masque, célébré comme un des plus grands chefs-d'œuvre de l'art chokwe, présente plusieurs caractéristiques dans le traitement du visage qui l'apparentent davantage au style de la petite ethnie mbagani, notamment le soulignement du contour des yeux et de la bouche.

Tiarko Fourche a rapporté que tous les danseurs qu'il a pu observer, y compris ceux qui dansaient avec le masque pwo, étaient des hommes initiés au degré le plus élevé.

Comptant parmi les masques animaliers angolais du début du XXe siècle, le masque à tête de cochon est sobre. Le filet à petites mailles servant à attacher le masque au reste du costume est fabriqué en coton et non plus en fibres de racines. Ce masque est probablement originaire du Kasaï (RDC).

Masque composé des mêmes matériaux polychromes et de l'aspect du Kaleluia, du rituel de la circoncision.

Belle représentation d'un visage d'ancêtre masculin. Les yeux sont mi-clos, la bouche grande ouverte sur des dents taillées en pointes.

Masque porté à l'occasion de l'initiation rnukanda, à faciès en résine et coiffure en écorce battue, rehaussés de tissu rouge et de motifs polychromes.

Masque Cikunza, «patron» tutélaire de l'initiation mukanda, au faciès en résine et haute coiffure annelée évoquant la corne de l'hippotrague tengu.

Masque composé des mêmes matériaux polychromes et de l'aspect du Kaleluia, du rituel de la circoncision.

Masque de danse Cihongo, évoquant l'«esprit de la richesse». Visage de bois, surmonté de la coiffure en éventail kapapa, constitué en vannerie (ordinairement recouverte de plumes).

This helmet-type wooden mask, portraying a young female, is danced at the completion of the initiation ceremonies (mukanda), and at other functions.

Enormous wooden polychrome principal mask for the male initiation and circumcision ceremony (mukanda)