La Côte d’Ivoire, en forme longue république de Côte d’Ivoire, est un pays membre de l’Union africaine. D’une superficie de 322 462 km2, elle est limitée au nord par le Mali et le Burkina Faso, à l’ouest par le Liberia et la Guinée, à l’est par le Ghana et au sud par l’océan Atlantique. La population est estimée à 26 594 750 habitants en 20175. La Côte d’Ivoire a pour capitale politique et administrative Yamoussoukro bien que la quasi-totalité des institutions se trouvent à Abidjan, son principal centre économique. Bien qu’elle ait pour langue officielle le français, plus de 60 autres dialectes sont parlés au quotidien. Elle a pour monnaie, le franc CFA. Le pays fait partie de la CEDEAO.
Cette grande statue de 61 cm de haut est très impressionnante. Assise sur un tabouret, les yeux fermés et la bouche entrouverte, l'air figé elle semble exprimer le refus.
Les sculptures et statues avec un phallus prononcé et ayant une allure décidée ou menaçante servent souvent de gardiens devant empêcher de pénétrer dans un bâtiment ou sur un terrain.
La représentation du phallus exprime la dissuasion ou l'intimidation par la menace d'un ennemi ou d'un pouvoir auquel on se sent inférieur ; elle peut exprimer aussi une attitude de bravade (proche de l'intimidation).
On retrouve le même geste chez de nombreuses figurines en laiton que tout devin possède pour exercer sa fonction. Les mains, en se rejoignant, effleurent presque le sexe surdimensionné ou même le touchent partiellement ; les jambes sont légèrement écartées et le bassin projeté en avant.
On retrouve le même geste chez de nombreuses figurines en laiton que tout devin possède pour exercer sa fonction. Les mains, en se rejoignant, effleurent presque le sexe surdimensionné ou même le touchent partiellement ; les jambes sont légèrement écartées et le bassin projeté en avant.
On retrouve le même geste chez de nombreuses figurines en laiton que tout devin possède pour exercer sa fonction. Les mains, en se rejoignant, effleurent presque le sexe surdimensionné ou même le touchent partiellement ; les jambes sont légèrement écartées et le bassin projeté en avant.
On retrouve le même geste chez de nombreuses figurines en laiton que tout devin possède pour exercer sa fonction. Les mains, en se rejoignant, effleurent presque le sexe surdimensionné ou même le touchent partiellement ; les jambes sont légèrement écartées et le bassin projeté en avant.
Convers le qualifie d'objet de culte ou appareil liturgique qui se serait appelé sibi et aurait joué un rôle primordial dans l'initiation des hommes du poro.
La représentation sculptée d'oiseaux majestueux n'était pas répandue dans l'ensemble du territoire des Senufo, mais elle est liée à une partie très précise du code initiatique du Poro, qui représente la phase préliminaire de l'initiation authentique des jeunes hommes.
La statue de droite semble provenir du Nord du pays. Tout semble le confirmer : la facture du visage avec sa bouche large, ses grandes oreilles, sa coiffure particulière ainsi que le grand pectoral contenant vraisemblablement des versets du Coran.
Attribuer une statue à tel ou tel groupe de sculpteurs en fonction de ses caractères stylistiques uniquement ou émettre un avis de fond sur le style de tout un groupe de sculpteurs en se basant sur un seul exemple sont une entreprise périlleuse, sans compter que chaque sculpture porte évidemment la, marque personnelle de l'artiste qui l'a façonnée.
Le jambage de section rectangulaire soutient la représentation d'un bel oiseau calao campé sur des pattes puissantes, le corps rond reposant sur une calle sculptée dans la masse.
Le jambage est creusé, sur un épaulement arrondi, de godrons parallèles. Le cou annelé de différentes figures géométriques est mobile, le dernier anneau supportant une tête de buffle au traitement naturaliste, sculptée horizontalement.
Parallèlement au Poro des hommes, les Sénoufo pratiquent l'initiation des filles mais d'une façon beaucoup plus sommaire, sans commune mesure avec les rites complexes du Poro.
Parallèlement au Poro des hommes, les Sénoufo pratiquent l'initiation des filles mais d'une façon beaucoup plus sommaire, sans commune mesure avec les rites complexes du Poro.
Elle est constituée d'un cuilleron de forme ronde, d'un long manche dont le sommet est sculpté d'une petite tête humaine stylisée. Ce type d'objet était utilisé comme couvert de prestige, lors de certaines occasions et par de hauts dignitaires.
Avant d'entrer en action, le korobla reçoit une offrande fait de sang ou d'une bouillie de noix de cola mâchées qui, avec le temps, finit par former une croûte grise (page 198 à gauche). Les duvets de poule collés que l'on y observe trahissent l'origine du sang de l'offrande. Des fagotins de petites cornes de chèvre ou d'antilope attachées sur la robe du masque et remplies de masse fétiche collés forment une protection supplémentaire contre les mauvais esprits se bringuebalent et cliquètent au moindre mouvement. Des plumets ou des touffes de brindilles sur la calotte, un large col épais d'herbes...
La lumière du jour décline et puisque les mauvais esprits préfèrent l'obscurité de la nuit, le temps est venu pour le masque de se montrer. Les roulements de tambour isolés se fondent en une suite régulière.
Bien que faisant partie de la catégorie des statues de sorties d'initiés du poro, les déguélé présentent une morphologie assez particulière qui les classé tantôt parmi les statues, tantôt parmi les masques.
Porté comme un casque lors des cérémonies, il se compose d'un couvre-tête armé de deux protubérances entourant une statuette féminine, d'un haut cimier en deux cornes curvilignes planes, et au revers, d'une tête de bovidé inversée.