Large-scale beete ceremonial rites were orchestrated in the face of crises that threatened a Kwele community's cohesion and well-being. These ceremonies harnessed the power of important ancestral relics from its member families in order to restore a sense of harmonious unity. Over the course of beete's proceedings, performances of a variety of different masks were used to divert the participants and, in so doing, afford them a shared experience of something extraordinary and marvelous to behold. The masks worn by the performers personified beings of the forest known as ekuk. Almost all these representations were abstract silhouette-like evocations of animals...

En raison de la proximité immédiate de gisements de minerai de fer dans le massif de Boka-Boka minerai à très haute teneur en métal , le travail de la forge, réservé aux hommes, était important.

Le collecteur a noté la tonalité de l'instrument: "sol, la,ré,fa,ré,fa,sol,la ".

Bakwélé-Bandjambi

Les beaux masques (Siroto 1995) bakwélé amthropomorphes sont de formes à peu près circulaires, plutôt petits de diamètre (env. 30 cm), de structure aplatie, avec un visage concave entouré d'une collerette, traité selon une stylisation géométrique facettée où s'opposent les courbes et les arêtes d'angles.

Visage humain en amande cerné par deux cornes recourbées se superposant aux contours de la face.

L'expression d'une des deux grandes faces dominantes de ce heaume quadrifronts, réduite à l'essentiel, n'est rendue que par les yeux.

L'indice le plus probant des rapports culturels et religieux entre les peuples Fang (Bulu, Béti, Ntumu, Nzaman-Betsi) et les groupes Bakwélé est leur utilisation commune des masques-heaumes à plusieurs visages (le plus souvent quatre mais parfois deux) à des fins de lutte antisorcellerie, cela depuis au moins un demi-siècle.

Les Bakwélé, dont le véritable nom est Bekwyel, occupent une région de grande forêt en limite du Gabon, du Cameroun et du Congo, principalement dans les vallées du Dja et de l'Ivindo.

Les rares masques des Kwélé, ethnie peu étudiée vivant dans le Nord-Est du Gabon et dans la région limitrophe de la république du Congo, sont associés au culte bwete dont les rites sont destinés à éloigner les sorciers.

D'après les traditions orales recueillies le destin des Bakwélé est très lié aux peuples du bassin de l'Ogooué.

Objet essentiel de la vie sacrée, conçu pour être fixé devant la face, ou ajusté comme un heaume ou un cimier, le masque se porte presque toujours avec un costume de fibres, de feuilles, de plumes ou de tissus, et s'accompagne de chants et de danses auxquels les initiés prennent une part active.

La surface qu'habitent les Kwélé ou Bakwélé, petit en nombre d'habitants, s'étend sur trois pays : le nord-est du Gabon, la République du Congo et le sud du Cameroun.

Avant d'en venir aux masques de hibou, il faut mentionner le type « hirondelle ». Un masque du fonds D. et B. Strong de San Francisco a été identifié comme tel par Siroto (fig. 35 - Kwélé12.jpg).

Cette pièce fait partie des rares masques kwélé, interprétés comme des représentations d'antilopes, qui comportent des cornes pointées vers le haut.

Si les masques à cornes enveloppantes suggèrent une ressemblance avec les antilopes de la forêt équatoriale, c'est que d'autres masques sont à l'évidence des représentations de cet animal.

Plusieurs masques apparemment anciens, de structure ronde ou ogivale, de lignes très épurées, présentent la particularité d'avoir une sorte de trompe d'éléphant jaillissant du front et retombant devant le visage.

Le type à cornes enveloppantes, une représentation anthropo-zoomorphe, constitue une création étonnante en terme de figuration plastique du visage humain.