Gabon

Visage humain plaqué de feuilles de cuivre jaune sur une âme de bois sculpté. Le métal épouse les formes du visage bombé qui est surmonté d'une courte coiffe à cimier central entouré de deux nattes latérales tombant au niveau des tempes.

Ce masque-heaume était encore en usage dans les années soixante chez les Bakota de l'Ivindo et de la Liboumba. Il était exhibé lors des festivités de Satsi (l'initiation des jeunes gens) et dans des rituels de guérison.

Large visage humain se détachant en fort relief du tronc cylindrique qui recouvrait la tête du porteur. La face est concave, sculptée de traits puissants : épais arc sourcilier joint à la naissance du nez, yeux protubérants.

Chez les Tsogo vivant au Gabon dans la région du Ngoumé supérieur, les sculptures sont en majeure partie liées aux pratiques initiatiques développées dans les codes locaux et les sociétés secrètes.

Ce masque est tout à fait homologue de celui du musée de Libreville. Peint de couleurs vives, par « quartiers » sur les différents plans, il est moucheté de noir et de blanc avec un effet d'opposition.

Quand on a pu observer un assez grand nombre d'objets, statues, reliquaires et masques du Gabon oriental, comme je l'ai fait depuis plus de trois décennies, on per­çoit un « air de famille » entre des créations plastiques apparemment très différentes au premier abord, par exemple les masques emboli des Bakota de l'Ivindo (fig. 13) et les sculptures ambété du Haut-Ogooué.

L'aspect resplendissant de lumière des figures Bwété kota était soigneusement entretenu en les frottant avec du sable. Cette composition magistrale laisse apparaître l'application complexe de divers métaux sur la structure de bois.

Âme de bois dur plaquée de feuilles de cuivre rouge et jaune décorées au repoussé de motifs géométriques, la face ovale concave est divisée en quatre quartiers couverts de cuivre rouge,...

Epaisse âme de bois plaquée de feuilles de cuivre décorées au repoussé de motifs géométriques : croisillons, pointillés et triangles, la face fortement concave convexe divisée verticalement au front par une épaisse plaque de cuivre rouge à nervure médiane...

Arme de parade autant que cultuelle, elle est souvent classée abusivement comme forme évolutive dans la catégorie des "Couteaux de jet".

Style ou la gestuelle : Se tenir la jambe croisée l'une sur l'autre

Le blanc est presque universellement symbole de pureté en Afrique. Il se rapporte également à la bonté, la beauté, la santé, la fertilité, la paix. Dans les rituels de purification et d'initiation, on observe souvent le maquillage blanc des novices, soit au niveau du visage, soit sur le corps tout entier.

Les oeuvres de ce style ont été attribuées aux Tsogho et sont liées à un ensemble régional de masques au visage blanc réalisés dans toute la région de l'Ogooué (Perrois 1979).

Visage humain en amande taillé en creux, la face légèrement concave convexe, un rebord épousant le pourtour du masque, l'arc frontal et le bourrelet sourciliés prolongé par le nez sont noircis au feu, le front, les yeux et la bouche sont rehaussés de rouge de padouk sur un champ de kaolin épais, une large bande de padouk trace une barbe symbolique s'élevant du menton à la bouche, une parure de raphia ceint le bas du masque.

Dans les villages du Centre-Gabon, entre Mimongo et Koulamoutou, il est habituel de trouver, installés côte à côte, des Tsogho, des Sango et des Vuvi (appelés aussi Pové ou Puvi) tous pratiquant les mêmes rites du bwiti. Toutefois, les coutumes particulières de chaque groupe sont connues, notamment dans le domaine de la sculpture et de la décoration. Les masques blancs vuvi présentent une stylisation très poussée si on les compare à ceux des peuples apparentés ou voisins. Le visage est plat ou à peine bombé (ce modelé discrètement perceptible est un indice de la maîtrise plus ou moins avérée du...

Dans les villages du Centre-Gabon, entre Mimongo et Koulamoutou, il est habituel de trouver, installés côte à côte, des Tsogho, des Sango et des Vuvi (appelés aussi Pové ou Puvi) tous pratiquant les mêmes rites du bwiti. Toutefois, les coutumes particulières de chaque groupe sont connues, notamment dans le domaine de la sculpture et de la décoration. Les masques blancs vuvi présentent une stylisation très poussée si on les compare à ceux des peuples apparentés ou voisins. Le visage est plat ou à peine bombé (ce modelé discrètement perceptible est un indice de la maîtrise plus ou moins avérée du...

Dans les villages du Centre-Gabon, entre Mimongo et Koulamoutou, il est habituel de trouver, installés côte à côte, des Tsogho, des Sango et des Vuvi (appelés aussi Pové ou Puvi) tous pratiquant les mêmes rites du bwiti. Toutefois, les coutumes particulières de chaque groupe sont connues, notamment dans le domaine de la sculpture et de la décoration. Les masques blancs vuvi présentent une stylisation très poussée si on les compare à ceux des peuples apparentés ou voisins. Le visage est plat ou à peine bombé (ce modelé discrètement perceptible est un indice de la maîtrise plus ou moins avérée du...

Dans les villages du Centre-Gabon, entre Mimongo et Koulamoutou, il est habituel de trouver, installés côte à côte, des Tsogho, des Sango et des Vuvi (appelés aussi Pové ou Puvi) tous pratiquant les mêmes rites du bwiti. Toutefois, les coutumes particulières de chaque groupe sont connues, notamment dans le domaine de la sculpture et de la décoration. Les masques blancs vuvi présentent une stylisation très poussée si on les compare à ceux des peuples apparentés ou voisins. Le visage est plat ou à peine bombé (ce modelé discrètement perceptible est un indice de la maîtrise plus ou moins avérée du...

Dans les villages du Centre-Gabon, entre Mimongo et Koulamoutou, il est habituel de trouver, installés côte à côte, des Tsogho, des Sango et des Vuvi (appelés aussi Pové ou Puvi) tous pratiquant les mêmes rites du bwiti. Toutefois, les coutumes particulières de chaque groupe sont connues, notamment dans le domaine de la sculpture et de la décoration. Les masques blancs vuvi présentent une stylisation très poussée si on les compare à ceux des peuples apparentés ou voisins. Le visage est plat ou à peine bombé (ce modelé discrètement perceptible est un indice de la maîtrise plus ou moins avérée du...

Dans les villages du Centre-Gabon, entre Mimongo et Koulamoutou, il est habituel de trouver, installés côte à côte, des Tsogho, des Sango et des Vuvi (appelés aussi Pové ou Puvi) tous pratiquant les mêmes rites du bwiti. Toutefois, les coutumes particulières de chaque groupe sont connues, notamment dans le domaine de la sculpture et de la décoration. Les masques blancs vuvi présentent une stylisation très poussée si on les compare à ceux des peuples apparentés ou voisins. Le visage est plat ou à peine bombé (ce modelé discrètement perceptible est un indice de la maîtrise plus ou moins avérée du...

Dans les villages du Centre-Gabon, entre Mimongo et Koulamoutou, il est habituel de trouver, installés côte à côte, des Tsogho, des Sango et des Vuvi (appelés aussi Pové ou Puvi) tous pratiquant les mêmes rites du bwiti. Toutefois, les coutumes particulières de chaque groupe sont connues, notamment dans le domaine de la sculpture et de la décoration. Les masques blancs vuvi présentent une stylisation très poussée si on les compare à ceux des peuples apparentés ou voisins. Le visage est plat ou à peine bombé (ce modelé discrètement perceptible est un indice de la maîtrise plus ou moins avérée du...

Nous ne disposons que d'informations limitées quant à la tradition masquée des Vuvi (on Pubi on Puvi) établis an centre du Gabon. Les masques semblent chacun porter un nom particulier en rapport avec l'esprit (moghondzi) qu'ils incarnent.

Visage humain en amande aux traits géométriques stylisés. Le front plat est délimité par un bandeau ovalisé, et par les grands sourcils arqués dessinant avec le nez « en nasal » un oméga déployé.

Dans les villages du Centre-Gabon, entre Mimongo et Koulamoutou, il est habituel de trouver, installés côte à côte, des Tsogho, des Sango et des Vuvi (appelés aussi Pové ou Puvi) tous pratiquant les mêmes rites du bwiti. Toutefois, les coutumes particulières de chaque groupe sont connues, notamment dans le domaine de la sculpture et de la décoration. Les masques blancs vuvi présentent une stylisation très poussée si on les compare à ceux des peuples apparentés ou voisins. Le visage est plat ou à peine bombé (ce modelé discrètement perceptible est un indice de la maîtrise plus ou moins avérée du...

La pointe de cette petite trompe est sculptée d'une tête humaine. Le nez est épaté, les yeux en forme de cauris; la bouche entreouverte sur des petites dents taillées en pointes.

Cette petite trompe, gainée partiellement de cuir, est sculptée sur son sommet de deux petites têtes janus. Les traits du visage sont en léger relief.

As with so much sculpture from Gabon, the exact origin and purpose of this délicate figure is uncertain.

Les Tsogo sculptaient jusqu'à ces dernières décennies des statuettes anthropomorphes pour différents usages rituels des séquences du bwiti.

Grande statuette ghéonga, utilisée dans les rites de la société du Bwete et dans ceux du culte des ancêtres Mombê (extrait d'Art et Artisanat Tsogho, op. cit).

Femme debout les mains jointes sous la poitrine, le corps peint en blanc et pyrogravé. La sculpture est très stylisée, les formes géométriques s'enchaînent dans un rythme harmonieux.