Gabon

Sanza à sept languettes métalliques (deux manquent). Caissette de résonance, trou antérieur, "talon" postérieur, en forme de queue d'aigle, trou latéral sur la plaque de fermeture. Parties métalliques oxydées.

Boîte oblongue incurvée à la base, resserrée vers le cou de la figure indiquée en champlevé, dotée d'un trou pour les pupilles.

Les Mitsogho, petite population du Centre-Gabon, sont installés dans les montagnes couvertes de grande forêt de la haute vallée de la Ngounié. Région sillonnée de nombreux cours d'eau, coupée de multiples vallées très encaissées et de crêtes difficiles d'accès, le pays tsogho est aussi connu pour son humidité et ses brouillards tenaces de saison sèche.

Banzi : initié, littéralement en Tsogho « celui qui a éclos, qui est sorti de sa coque, le libéré ». Vient de banzara « décortiquer l’amande ». Plus récemment, en Punu, c’est celui qui « a trouvé la vérité ».

Les treize mille Tsogho sont installés sur les rives de la Ngounié. Comme leurs voisins, les Bakwele, razziaient et pillaient les villages pour se procurer des esclaves et des femmes, ils se sont enfoncés dans l'intérieur des terres mais ont tout de même fourni un grand contingent d'esclaves aux négriers de la côte.

Les styles périphériques des Masques Punu-lumbu Masques blancs de la danse Okukwé,Masques blancs Tsogho,Masques blancs Vuvi,Masques blancs Sango Chez les Tsogho et leurs voisins apparentés (Sango, Apindji, Vuvi), les masques interviennent surtout lors des rites de deuil et occasionnellement lors des rites d'initiation des jeunes garçons au bwiti. Ils apparaissent, au crépuscule ou à l'aube (généralement pas en plein jour, sauf exception de réjouissances), enveloppés de feuilles et de peaux d'animaux — singe, antilope, civette, serpent, et le plus souvent en groupe, parfois de dix ou vingt masques, chacun ayant son chant et ses mimiques de danse spécifiques (quelques unes...

Visage de forme rectangulaire avec une face concave eb coeur. Deux marques scariticatoires en diagonale partent des ailes du nez. des cavités rectangulaires font office d'yeux, la coiffure de plumes d'oiseaux est fixée sur une protubérance cylindrique au sommet du masque.

Visage humain bichromé noir et blanc au grand front bombé, le bas de la face dessinant un cœur, une coiffe à deux cornes recourbées vers l'arrière, rehaussée de noir et de rouge de padouk, couronne le visage, deux motifs décoratifs en croisillons sont gravés à la naissance des cornes, au-dessus des oreilles.

Visage humain en amande à coiffe peignée de grosses nattes obliques. Le front orné d'une scarification de pointillés est peint en rouge, les sourcils forment avec le nez un large oméga, le bas du visage est couvert de kaolin.

Les styles périphériques des Masques Punu-lumbu Masques blancs de la danse Okukwé,Masques blancs Tsogho,Masques blancs Vuvi,Masques blancs Sango Chez les Tsogho et leurs voisins apparentés (Sango, Apindji, Vuvi), les masques interviennent surtout lors des rites de deuil et occasionnellement lors des rites d'initiation des jeunes garçons au bwiti. Ils apparaissent, au crépuscule ou à l'aube (généralement pas en plein jour, sauf exception de réjouissances), enveloppés de feuilles et de peaux d'animaux — singe, antilope, civette, serpent, et le plus souvent en groupe, parfois de dix ou vingt masques, chacun ayant son chant et ses mimiques de danse spécifiques (quelques unes...

Visage féminin ovale, l'arc des sourcils et l'axe du nez confondus en un large oméga, les yeux fendus, la bouche souriante ouverte, une coiffe à trois chignons et couettes latérales gravées orne le masque. Les styles périphériques des Masques Punu-lumbu Masques blancs de la danse Okukwé,Masques blancs Tsogho,Masques blancs Vuvi,Masques blancs Sango Chez les Tsogho et leurs voisins apparentés (Sango, Apindji, Vuvi), les masques interviennent surtout lors des rites de deuil et occasionnellement lors des rites d'initiation des jeunes garçons au bwiti. Ils apparaissent, au crépuscule ou à l'aube (généralement pas en plein jour, sauf exception de réjouissances), enveloppés de...

Ce masque apparaît comme entité anthropomorphe Mogbondzi dans les rites noctunes de la société Bwete.

Les Tsogho, ethnie vivant dans la région située au nord de la Haute-Ngounié, conservaient traditionnellement les os des notables après leur décès. Une statuette était enfoncée dans le sac contenant les reliques

Les Tsogho, ethnie vivant dans la région située au nord de la Haute-Ngounié, conservaient traditionnellement les os des notables après leur décès. Une statuette était enfoncée dans le sac contenant les reliques.

Le bwiti est «issu du renouvellement du vieux culte des ancêtres, Mombe, de la découverte des vertus de la plante hallucinogène iboga procurée par les Pygmées et des emprunts accumulés au cours des migrations qui ont précédé l'installation des Mitsogho dans la région actuelle du Mimongo.

Cloche à battant extérieur, composée d'une cloche en métal et d'un manche en bois sculpté surmonté d'une tête humaine.

Chez les Tsogo vivant au Gabon dans la région du Ngoumé supérieur, les sculptures sont en majeure partie liées aux pratiques initiatiques développées dans les codes locaux et les sociétés secrètes.

Cet instrument de musique est utilisé dans la totalité des sociétés et corporations initiatiques et également au cours du récit de certains contes.

Chez les Tsogho et leurs voisins apparentés (Sango, Apindji, Vuvi), les masques interviennent surtout lors des rites de deuil et occasionnellement lors des rites d'initiation des jeunes garçons au bwiti.

Chez les Tsogho et leurs voisins apparentés (Sango, Apindji, Vuvi), les masques interviennent surtout lors des rites de deuil et occasionnellement lors des rites d'initiation des jeunes garçons au bwiti.

Chez les Tsogho et leurs voisins apparentés (Sango, Apindji, Vuvi), les masques interviennent surtout lors des rites de deuil et occasionnellement lors des rites d'initiation des jeunes garçons au bwiti.

The Tsogo have preserved their ancient traditions more fully than almost any group in Gabon.

Cylindre de bois lourd évidé, orné sur le pourtour de quatre visages humains en relief, l'ensemble peint en noir et blanc. Les visages sont en amande, le front bombé, la face en cœur.

Les masques ngil à face blanche des Fang, peuple établi en Guinée équatoriale, dans le Nord-Ouest du Gabon et dans le Sud du Cameroun, relèvent d'une tradition éteinte depuis plus de soixante ans.

La description de cette sculpture singulière est un défi redoutable, à la hauteur du génie un peu délirant du sculpteur qui a conçu cet être hybride à deux têtes, reposant chacune directement sur une paire de jambes ou de bras.